La chirurgie de la silhouette
Retrouver un corps harmonieux
La chirurgie esthétique et réparatrice du corps, ou autrement dit la plastie de la silhouette, permet de redonner au corps des proportions harmonieuses et mieux équilibrées. En remodelant la silhouette, en éliminant les excédents de peau mais aussi de graisse sur certaines zones du corps (cuisses, ventre, hanches, culottes de cheval, dos …) elle offre à l’opéré(e) des solutions concrètes, discrètes et définitives, permettant de retrouver confort physique, mais aussi émotionnel. Dans une société de plus en plus exigeante sur le plan des codes esthétiques et vestimentaires, une disgrâce de la silhouette peut parfois être vécue de façon lourde par certaines personnes, et être à l’origine de réels complexes et d’une perte de confiance en soi. Heureusement de nombreuses solutions tout à fait sécurisées et fiables de chirurgies esthétiques adaptées à la silhouette permettent aujourd’hui de remédier à variétés de problématiques de déséquilibres corporels. Ainsi qu’il s’agisse de retrouver un joli galbe des bras via un lifting de la face interne des bras, ou un ventre plat via l’abdominoplastie. Qu’il soit question de corriger la forme des cuisses, de pratiquer une liposuccion, ou un même bodylift …, le Dr. Martin, chirurgien plasticien à Caluire en région Auvergne-Rhône-Alpes, œuvre avec le même engagement, la même implication et bienveillance. Découvrez quelques unes de ses expertises en chirurgie esthétique de la silhouette.
Le Bodylift
Le bodylift ou la chirurgie esthétique de la ceinture abdominale, est spécifiquement adapté pour la correction de ces défauts corporels.
Le Bodylift, un véritable lifting du corps
Cette intervention de chirurgie esthétique de la silhouette vise à supprimer les excédents de graisse et de peau situés au niveau de la ceinture de la région abdominale, mais aussi des hanches, des fesses, de la culotte de cheval et même du dos.
L’objectif de cette opération de plastie est donc de retendre la peau du tiers moyen du corps et d’enlever cette peau présente en excès. Lorsqu’un excès de graisse est également constaté, il sera retiré en même temps lors de l’acte chirurgical, entraînant de fait une diminution spectaculaire du volume global du corps. La silhouette est mieux équilibrée, plus harmonieuse.
Le bodylift ou encore la lipectomie circulaire agit donc efficacement :
- À l’avant du corps, sur le ventre, le pubis et le haut des cuisses
- À l’arrière du corps, sur les fesses
- Latéralement, sur les hanches et la culotte de cheval
La lipectomie circulaire, ce qu’il faut savoir
Pour mieux comprendre ce dont il s’agit et qu’elle est l’action précise de cette intervention chirurgicale du corps, il suffit d’imaginer qu’une bande de peau d’environ 20 à 25 cm de hauteur est ôtée tout autour du corps, au niveau de la ceinture.
Quant au ressenti émotionnel de la personne suite à ce geste opératoire et malgré une cicatrice circulaire qui peut sembler à priori conséquente, l’expérience montre deux choses. Si la cicatrice est positionnée correctement – c’est à dire facile à cacher par un sous vêtement réduit -, et que l’amélioration de la silhouette est spectaculaire, cette intervention de chirurgie plastique de l’abdomen est très bien acceptée.
Le bodylift, une intervention qui a énormément progressée
Il y a encore une dizaine d’année, le bodylift, opération de chirurgie esthétique du corps était encore assez peu pratiqué, et souvent considéré comme trop risqué.
Mais, face à l’augmentation du nombre d’amaigrissements importants (accompagnés de leurs cortèges d’excès cutanés) due à la pose d’anneaux gastriques, la demande ne cesse de croître depuis ces dernières années. Résultats, de très gros progrès techniques ont été réalisés et cette intervention chirurgicale est désormais tout a fait sécurisée et maîtrisée.
Un postopératoire sensible, des précautions nécessaires
Concernant les procédés sélectionnés, afin de corriger sélectivement les défauts dont il est question et d’obtenir les meilleurs résultats, chaque chirurgien plasticien est libre d’adapter son choix à chaque cas.
La récupération
Parfois plus longue que pour celle d’une autre opération de chirurgie plastique, elle dépend de plusieurs raisons :
- la durée de l’intervention,
- les surfaces opérées et les quantités enlevées,
- Le gonflement et les bleus qui apparaissent rapidement et peuvent être assez intenses, tout comme la fatigue et les douleurs liées.
Le suivi postopératoire.
Les anesthésistes assurent une prise en charge attentive de la douleur, maîtrisée par l’administration de produits appropriés et suffisamment puissants. Pour limiter l’œdème, le port d’une gaine de compression durant le premier un mois est essentiel. Quant à la cicatrice, elle devra être protégée du soleil et non exposée aux UV durant toute une année.
Des résultats visibles dès les premiers jours.
La remise en tension de la peau est toujours très spectaculaire et permet d’obtenir de premiers résultats visibles rapidement, quasi immédiatement. Il faut toutefois attendre 3 semaines pour constater un résultat encore plus impressionnant, et ce, dès que les oedèmes se seront estompés. Quant à la cicatrice, il est important de souligner que si elle s’estompe relativement bien avec le temps, elle ne saura toutefois disparaître totalement.
Un confort retrouvé source de satisfaction et de mieux-être.
Si l’amélioration esthétique est souvent très appréciée, le bodylift apporte également le plus souvent à l’opéré(e) un réel bénéfice en terme de confort. Le but de la lipectomie circulaire est avant d’apporter une réelle amélioration et non l’atteinte d’une totale perfection. Si les souhaits des patients sont réalistes, les résultats obtenus procurent une grande satisfaction et un mieux-être retrouvé.
En quoi consiste chez chirurgie esthétique abdominale ?
L’abdominoplastie, ou encore la plastie abdominale, est l’opération de chirurgie esthétique de la paroi abdominale, autrement dit la plastie du ventre. Son objectif, éliminer la peau la plus abîmée et retendre la peau saine périphérique. Les défauts les plus significatifs de la peau sont ainsi fortement atténués : vergeture, distension notable, cicatrice, relâchement cutané, perte de tonicité…
Dans quel cas avoir recours à l’abdominoplastie ?
Si les lésions cutanées sont considérées comme trop conséquentes, ou que des altérations de la paroi musculaire (relâchement, diastasis, hernies…) sont constatées, la lipoaspiration isolée peut s’avérer insuffisante. Il convient alors de recourir à une opération de plastie abdominale ou à une abdominoplastie. Une intervention qui permettra d’ôter la peau la plus abîmée, afin de redonner un aspect beaucoup plus harmonieux et lisse au ventre.
Dans le même temps, il sera tout à fait possible d’enlever également un éventuel surplus graisseux, via la technique de la lipoaspiration.
Une intervention délicate mais bien maîtrisée
La plastie abdominale est une intervention de chirurgie plastique considérée comme relativement délicate, cependant il est à important de souligner qu’elle a ces dernières années bénéficiée de grandes avancées et d’améliorations techniques :
- procédés anesthésiques plus légers,
- techniques dites à haute tension supérieure,
- méthodes de capitonnage,
- perfectionnement des pratiques de sutures,
- progrès significatifs des pansements et des gaines compressives,
- …
Ces nouvelles maîtrises et savoir-faire ont permis de réduire significativement les risques et d’alléger de façon concrète les suites opératoires. La qualité des résultats est désormais grandement améliorée et les cicatrices beaucoup moins visibles. Ainsi, les cas considérés comme moins prioritaires, car plus légers, peuvent maintenant bénéficier également de cette technique de chirurgie plastique abdominale.
Le postopératoire, suivi et conseils
La cicatrisation.
La cicatrice résultant de ce type d’intervention chirurgicale, est plus ou moins longue et plus ou moins cachée, car elle dépend de l’importance et de la localisation de la peau lésée dont il a fallu réaliser l’ablation. D’une façon générale, la cicatrice se situe au bord supérieur des poils pubiens et remonte plus ou moins loin dans les plis de l’aine.
Et pour le suivi ?
Pendant environ les 15 jours qui suivent l’intervention, des pansements viennent protéger la cicatrice. Une gaine de soutien est conseillée jour et nuit durant 4 à 6 semaines.
Les douleurs sont dans la grande majorité des cas tout à fait supportables grâce à l’administration d’un traitement précisément adapté. Ainsi, des tensions et des courbatures des abdominaux, ainsi qu’une gêne à l’inspiration profonde sont généralement ressentis. Quant au résultat final, il requiert patience et l’atténuation de la cicatrice. Il est la plupart du temps apprécié dans les 6 et 12 mois suivants l’intervention.
Lifting de la face interne des bras
Parce qu’elle est fortement et régulièrement sollicitée par les mouvements et soumise aux potentielles variations importantes voire répétitives de poids, la peau de la face interne des bras, très fine, est directement impactée. Associée ou non à une hypertrophie graisseuse, un affaissement cutané est souvent observé dans cette région du corps.
Le lifting brachial, la chirurgie plastique des bras
C’est un fait cacher des bras considérés comme inesthétiques n’est pas toujours aisé selon la saisonnalité et limite par ailleurs grandement les options vestimentaires.
Lorsqu’il existe un relâchement de la peau au niveau de la face interne des bras, le recours à une lipoaspiration isolée n’est pas toujours suffisant. Seule une remise en tension de cette peau excédentaire est apte à corriger ce défaut pour des résultats satisfaisants et durables.
Une intervention de chirurgie plastique des bras est possible, le lifting de la face interne des bras ou la brachioplastie.
Le lifting brachial permet donc de :
- réduire l’infiltration graisseuse localisée par une lipoaspiration ciblée,
- supprimer l’excédent cutané et de redraper la peau restante, afin de la retendre efficacement.
Retrouver des bras lisses et plus esthétiques
Si chaque chirurgien, afin d’obtenir les meilleurs résultats, adopte selon les cas et son expertise une technique qui lui est propre, des process communs sont quoi qu’il en soit mis en place. Ainsi en présence d’une infiltration adipeuse excédentaire, liposuccion ou lipoaspiration, est initialement pratiquée.
Le chirurgien peut ensuite enlever l’excès cutané afin de remettre en tension la peau. L’incision pratiquée est réalisée dans un des plis de l’aisselle de façon verticale, ou longitudinale, les deux types d’incisions peuvent par ailleurs être associées si besoin.
Quant à l’emplacement et la longueur de la cicatrice, cela dépendra du type d’intervention choisie et de l’importance de la distension cutanée.
Des suites postopératoires simples
Un retour à domicile rapide.
L’opéré(e) peut rentrer à son domicile très rapidement, la sortie ayant lieu en règle générale le jour même ou le lendemain de l’intervention.
De façon tout à fait classique, des ecchymoses (bleus) et un œdème (gonflement) peuvent apparaître. Mais dans les 10 à 20 jours suivant l’intervention ils auront considérablement régresser, voire disparus.
Un résultat final apprécié entre 6 à 12 mois.
En règle générale les douleurs postopératoires (courbatures, tiraillements, élancements) sont parfaitement maîtrisées avec un traitement adéquat.
Pour apprécier un résultat final il convient de faire preuve d’un peu de patience et d’attendre le temps nécessaire à l’atténuation de la cicatrice. Généralement entre 6 à 12 mois après l’intervention.
Ce qu’il faut retenir
Le plus souvent une correction tout à fait satisfaisante de l’infiltration graisseuse et du relâchement de la peau est observée. Résultats ? La morphologie du bras est nettement améliorée. Sur le plan fonctionnel cette amélioration est également très nette, d’autant plus en cas de lifting avec incision longitudinale.
Lifting de la face interne de la cuisse
Le lifting des cuisses ou la cruroplastie
Une intervention non agressive
Ici encore chaque chirurgien selon le cas dont il est question adopte une technique qui lui est propre, et ce, afin d’obtenir les résultats les mieux adaptés à la situation. Des principes de base restent bien entendu communs à la pratique opératoire de la cruroplastie.
À noter que les avancées scientifiques ainsi que les nouvelles techniques utilisées, sont désormais beaucoup moins agressives. L’architecture des tissus (vaisseaux lymphatiques et sanguins notamment) est davantage respectée. Résultats ? Les taux de complications sont significativement réduits et la pose de drains évitée, grâce à la quasi absence d’écoulement postopératoire.
Des suites opératoires légères
Des effets secondaires limités.
Opération de chirurgie plastique tout à fait maîtrisée, elle permet à la patiente (ou au patient) de rentrer à son domicile très rapidement, le jour même ou le lendemain de l’intervention. Quant aux effets secondaires ils sont assez classiques et se caractérisent le plus souvent par l’apparition de bleus (ecchymoses), et/ou d’un œdème. Mais 10 à 20 jours après l’intervention ils auront considérablement régresser, voire même disparus.
Et pour le résultat final ?
Courbatures, tiraillements ou éventuels élancements sont les types de douleurs potentielles et tout à fait supportables qui suivent l’intervention. Un Traitement adapté permet d’en limiter les effets et la durée.
Chirurgie esthétique considérée comme peu invalidante, elle génère le plus souvent simplement une légère gêne à la marche, due à la localisation des zones opérées.
6 à 12 mois c’est le temps nécessaire après l’intervention pour apprécier un résultat final qui sera tout à fait significatif, une fois la cicatrice bien atténuée.
Une morphologie de la cuisse améliorée.
Grâce à la correction de l’infiltration graisseuse et du relâchement de la peau, la cuisse reprend une esthétique agréable, l’équilibre de la morphologie de la cuisse est restauré.
Cachées dans un pli naturel et facilement dissimulables par des sous vêtements (sauf en cas de cicatrice verticale), les cicatrices sont généralement discrètes.
Lipostructure de la silhouette
par injection de graisse autologue
Le lipofilling par transfert de graisse autologue
Cette technique opératoire consiste à prélever puis à réinjecter les propres cellules adipeuses de la patiente dans certaines zones ciblées du corps, visage ou silhouette. On parle alors de réinjection de graisse autologue. C’est une véritable autogreffe de cellules graisseuses. Des progrès déterminants concernant le mode à traumatique de prélèvement et de réinjecté, tout comme la purification de la graisse, ont permis de limiter considérablement la part de résorption dû tissus graisseux. La lipostructure par transfert de graisse peut s’appliquer à variétés de dépressions (creux) qu’elles soient d’origines naturelles, post-traumatiques ou encore iatrogéniques.
Une technique bien tolérée
Technique de comblement en chirurgie plastique, le lipofilling est généralement très bien toléré et contribue même à améliorer l’apparence de la peau grâce à l’apport de cellules souches. Aucun rejet, ni intolérance ne sont à craindre. Le patient étant à la fois donneur et receveur aucun élément étranger n’est injecté dans le corps.
Une chirurgie de la silhouette en 4 étapes
Si chaque chirurgien adopte une technique propre qu’il adapte de façon spécifique selon les cas, afin d’obtenir des résultats à la fois ciblés et efficaces, des étapes communes sont suivies dans le cadre de la lipostructure par transfert de graisse :
- Le repérage des zones du corps concernées par le prélèvement et la réinjection de la graisse.
- Le prélèvement de tissu graisseux effectué à l’aide de très fines canules d’aspiration,
via des micro-incisions cachées dans les plis naturels.
Pour cette étape, le choix d’une région discrète présentant une réserve, voire même un excès de graisse est privilégié. - La centrifugation, visant à séparer les cellules graisseuses intactes aptes à être greffées, des éléments qui ne le sont pas.
- La réinjection de graisse autologue qui est réalisée à l’aide de micro-canules via des incisions de 1mm.
Les microparticules de graisse sont injectées dans de multiples directions et sur différents plans favorisant ainsi la surface de contact entre cellules implantées et tissus receveurs. Un process qui permet d’augmenter le potentiel de survie des cellules graisseuses ainsi greffées.
Une technique de correction chirurgicale définitive
La technique de lipostructure est considérée comme définitive puisque les cellules adipeuses greffées sont vivantes et le resteront au sein de l’organisme, aussi longtemps que les tissus situés autour d’elles le sont. Bien entendu cela requiert que la technique employée soit efficiente et que la prise de greffe soit effective. Et comme les graisses ont été prélevées dans des zones en excès, ces dernières bénéficient en même temps d’une correction esthétique. Le bénéfice de la lipostructure pour la silhouette est donc double.
Des suites opératoires peu douloureuses
Des effets postopératoires fréquents.
Les douleurs qui suivent un lipofilling sont généralement peu importantes.
Dans les premières heures des bleus peuvent apparaître au niveau des zones de réinjection graisseuses. Des ecchymoses qui se résorbent en 10 à 20 jours. De même un œdème caractérisé par un gonflement des tissus peut survenir dans les 48 h suivant l’intervention. Il faut alors compter de 5 à 15 jours afin qu’il disparaisse.
Un résultat définitif entre 3 à 6 mois.
C’est le temps nécessaire après l’intervention pour apprécier un résultat final. Celui-ci est par ailleurs généralement parfaitement satisfaisant dès lors que l’indication et la technique ont été correctement respectées. Résultats ? Les dépressions (creux) sont comblées et les volumes restaurés, la silhouette retrouve une posture harmonieuse et équilibrée.
Ce qu’il faut savoir.
Une variable de 20 à 40% existe entre la quantité de graisse réinjectée et la quantité effective de prise de la greffe. Pourquoi ? Quelle que soit la technique utilisée, même la plus perfectionnée, une partie du tissu adipeux réinjecté va inexorablement se résorber.
Bien entendu, cette donnée est prise en compte par le chirurgien lors de l’évaluation de quantité de graisse à réinjecter au cours d’un lipofilling. Enfin, en cas d’amaigrissement ou de prise de poids, les régions ayant bénéficiées de la lipostructure se creuseront ou augmenteront de volume, la graisse réinjectée étant sensible aux variations de poids du corps.
La lipoaspiration
La liposuccion est sans aucun doute avec la rhinoplastie et la chirurgie des seins, et plus précisément l’augmentation mammaire , l’opération de chirurgie plastique la plus fréquente et pratiquée par les chirurgiens esthétiques. En aspirant les excès de cellules adipeuses accumulées dans certaines zones du corps, la technique de la lipoaspiration supprime de façon définitive ces surcharges de graisses localisées, difficiles à éliminer malgré des régimes alimentaires appropriés ou la pratique d’exercices physiques.
La lipoaspiration ne se substitue pas à un régime ou un traitement
La liposuccion ou autrement dit la lipoaspiration n’est en aucun cas une méthode d’amaigrissement supplémentaire, qui viendrait se substituer à une démarche nutritionnelle ciblée et spécifique. La lipoaspiration n’a pas comme objectif la maîtrise du poids du patient ou de la patiente. Même correctement réalisée elle ne permet pas de faire l’impasse sur une hygiène de vie renforcée et adaptée à la problématique pondérale de la personne. La lipocussion n’est donc pas à appréhender comme pas un traitement visant à lutter contre l’obésité.
La lipoaspiration une technique esthétique pour différentes zones du corps
La liposuccion, une opération de plastie qui s’adapte à diverses parties de la silhouette :
- la culotte de cheval,
- les hanches,
- l’abdomen,
- les cuisses,
- les genoux,
- les mollets,
- les chevilles,
- les bras,
- le dos.
Les avancées technologiques permettent également aujourd’hui des interventions au niveau du visage et du cou (double menton, ovale du visage).
La liposuccion une technique chirurgicale maîtrisée et non traumatisante
Comme pour toutes les interventions de chirurgies esthétiques et plastiques, le chirurgien adopte une technique propre qu’il adapte spécifiquement au cas et au contexte, et ce, dans la perspective d’obtenir des résultats optimums. Cependant, les principes de base restent communs.
Ainsi la technique de la lipoaspiration consiste en l’introduction des canules en mousse à bout arrondi et non tranchant dans de courtes incisions. Ces canules perforées de plusieurs orifices à leur extrémité sont connectées à un circuit fermé, dans lequel est créée une pression négative. L’aspiration des cellules graisseuses en surnombre se fait de façon harmonieuse et non traumatisante. Les incisions sont très réduites (entre 3 à 4 millimètres) et particulièrement discrètes, puisque le plus souvent cachées dans un pli naturel.
Quant à la quantité de graisse extraite, elle devra bien évidemment s’adapter à la quantité de la peau sus-jacente. La qualité du résultat dépendra également de cet élément déterminant.
Les suites opératoires
Les premiers résultats en 3 semaines.
Une compression modelante afin de limiter l’oedème postopératoire est réalisée le plus souvent à l’aide d’un panty adapté, ou de bandes élastiques.
C’est seulement au terme des 3 premières semaines, une fois l’œdème résorbé, que le résultat commence à apparaître. Il faut 3 à 6 mois à la peau pour se rétracter complètement sur les nouveaux galbes et se réadapter à la toute nouvelle silhouette ainsi façonnée.
6 mois pour un résultat définitif.
Généralement il faut compter 6 mois après l’intervention, pour apprécier un résultat définitif qui sera considéré comme réussi, si l’indication et la technique ont été correctement respectées. Bénéfices de lipoaspiration, faire disparaître de façon définitive les surcharges de graisse localisées, tout en entraînant une rétraction appréciable de la peau.